Adapter sa lingerie avec les vêtements du quotidien
Adapter ses dessous aux articles du quotidien, les vêtements que l’on porte pour aller au travail, tenter de monter en grade ou d’intégrer une société. Porter des dessous sexy assortis donne confiance en soi.
Gagner en confiance avec la lingerie
Pour un entretien d’embauche on a toujours une appréhension, on nous dit alors d’imaginer le dirigeant sans son costume entrain d’aller aux sanitaires, cela le décrédibilise un peu et on se sent rassurée.
On se souvient que ça reste un homme avec sa vie en dehors de sa profession et qu’il n’est qu’un être humain. Pas la peine donc d’être si anxieuse.
Pour gagner en assurance le matin on prend un petit déjeuner bien garni avec une bonne tasse de café et on ouvre le tiroir pour savoir quel dessous on va endosser.
Si on a une robe ou une jupe droite, on peut mettre des bas autofixants mais le porte-jarretelle reste l’outil le plus rassurant.
Imaginons la tête de l’employeur si jamais il aperçoit un morceau de jarretelle sortir sous le volant de la robe.
Au niveau du soutien-gorge
Encore une fois on n’a pas fait exprès de laisser un bouton du chemisier blanc ouvert, juste histoire de décontenancer son adversaire. La cravate peut aussi être une lingerie vraiment coquine à moitié défaite, mais on garde une chevelure tirée à quatre épingles.
Le but est de déconcentrer son patron, obtenir une promotion ou une augmentation. La force c’est que l’on est une femme et qu’il est un homme, avec ses émotions, et surtout des yeux pour contempler.
Alors puisqu’on a déjà gagné la bataille autant s’amuser: on opte pour le soutien-gorge blanc si le chemisier est de la même teinte et on le choisit un peu transparent pour laisser apparaitre les motifs du soutien-gorge.
Ainsi l’ennemi n’entendra plus que d’une oreille tout ce qu’on aura à lui dire et dira amen à tout, ou presque. Et on n’oublie pas la règle première: le fixer droit dans les yeux avec les jambes croisées et les mains manucurées.